ou la religion de la Religion !
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Depuis que l’Église est devenue religion d’empire par le choix de Constantin, il n’y a que deux points sur lesquels elle n’a jamais varié d’un iota : son indéfectible attachement aux puissants, quels qu’ils soient, et son insatiable appétit pour les richesses. Appétit qui fut d’ailleurs largement satisfait grâce à cet attachement...
Pour le reste en effet, tout a changé. Ainsi de la doctrine, des dogmes, de la divinité (sic) de Jésus, des caractéristiques intimes de la vierge (sic) Marie, de la morale, des règles de vie du clergé, tout, sauf ces deux points.
Cette complicité appuyée du clergé pour tout ce qui possédait du pouvoir, profita naturellement aux deux parties.