…et laxisme médiatique !
On ne voudrait pas être à la place des tâcherons qui sont chargés, selon le calendrier de la mythologie chrétienne, d’assurer la propagande des faits considérés importants par la catholicité et de ressasser sempiternellement pour chaque ‘’commémoration’’ les mêmes affligeantes niaiseries. Plus niaises et plus affligeantes, d’ailleurs, d’année en année.
Tout commence, nous venons d’en subir la dernière atteinte fin 2007, par Noël, cette ineptie qu’on n’en finit pas de répéter[1]. Viendront ensuite, au fil des mois : le vendredi saint, Pâques, la Pentecôte, etc., une dramaturgie de pacotille écrite en des temps d’ignorance totale et où les individus étaient prêts à croire n’importe quoi. Ce qui explique d’ailleurs que ces mièvreries se soient si facilement répandues.
Il est vrai aussi qu’ensuite, et longtemps, la vérité historique et l’information ont été monopolisées, falsifiées, puis resservies au bon peuple après transformation par des régiments d’ensoutanés qui veillaient à ce que rien de ce qui aurait pu nuire à la « sainte » institution ne transpire. Mais ces temps sont maintenant révolus ce qui ne facilite évidemment pas la tâche des besogneux chargés de faire croire à la véracité d’événements de la plus haute fantaisie dont ils seraient bien incapables de prouver l’authenticité. Pas plus qu’il leur serait possible de cacher les ignominies que l’Église a accumulé pendant des siècles, ou le comportement le plus souvent indigne de son personnel, jusqu’à nos jours.